Vocabulaire en CM2
Les élèves de la classe de CM2 de Mme Braud, ont travaillé autour du verbe « voir ».
Voici des liens vers des jeux pour connaître tous les mots appris en classe.
1, Catégorisation https://learningapps.org/display?v=pqtm23ep519
2, Les outils pour voir https://learningapps.org/display?v=pc0sr63gj19
3, Qui utilise quoi ? https://learningapps.org/display?v=pii243ee519
4, Mots croisés https://learningapps.org/display?v=p4zmtxbm519
5,Faire des phrases https://learningapps.org/display?v=ppugvpenc19
Ces activités sont également disponibles à partir d’un smartphone ou d’une tablette à l’aide d’une application gratuite qui lit les QR-Codes ci-dessous :
Le changement, c’est maintenant !
Textes libres, encore !!!
- Qui marche sur le pont ?
- Je vais dans la montagne, dit le petit bouc.
- Je ne te crois pas, je vais te manger !
- Tu n’as qu’à manger mon frère, il est plus gros que moi !
- D’accord ! »
- Que fais-tu sur mon pont ?
- Je vais dans la montagne où c’est tellement beau, dit le moyen bouc.
- Je vais te manger !
- Tu n’as qu’à manger mon frère, il est plus gros que moi !
- D’accord ! »
- Toi, je vais te manger
En 2050… (CE2)
Textes libres au CE2
Textes libres au CP et CE1 (1)
Mais où sommes-nous ?
Où sommes-nous ?Dans un centre d’appel ?Mais les employés sont bien jeunes ?
Ces élèves travaillent, oui bien sûr, mais pour eux !Là, ils apprennent à lire :Ils codent des mots et dans le même temps apprennentl’orthographe et les règles d’accords.
Ils utilisent un Ecritoire :Clique sur les images pour les voir en grand !
Pour écrire le mot « oiseau » que l’on prononceavec ces 3 sons (3 phonèmes) /oi/z/o/on pointe avec une baguette sur l’écritoireles 3 écritures (graphèmes) de ces 3 sons :OISEAUet « si il y en a plusieurs », on pointera…OISEAUX
Mais tout ça, on peut aussi le faire avec des cubes qui s’emboitent !
Ces élèves semblent adorer ce travail en atelieret des ateliers, il y en a pour tous les goûts.
Autour du verbe « manger » au CE2
Les élèves ont travaillé autour du mot « MANGER » :que mange-t-on? où mange-t-on? avec qui ? comment ? pourquoi ?…Ils ont collecté, classé (jetez un oeil sur notre TBi bien rempli)les mots et expressions. Puis, ils ont utilisé toute cette récoltedans des phrases pour s’approprier tout ce lexique.
Puis, riches de leurs nouvelles connaissances, ils ont écrit…
Le pantalon saliLundi, mes amis et moi, nous sommes allés au restaurant pour mon anniversaire. Le serveur nous a apporté le menu : il y avait plusieurs choses très appétissantes. Tout avait l’air délicieux. On a commandé : à l’apéritif, j’ai pris de l’Oasis et les amuse-bouches étaient très bons. En entrée, j’ai pris des betteraves rouges. Pour le plat chaud, des haricots beurre et de la dinde . Sur le plateau de fromage, c’est l’édam qui ma tenté. Au dessert nous avons tous pris des glace au chocolat. Mais Rémi a fait tombé la sienne sur mon pantalon ; ça ma sali. Je me suis mise en colère, mais je lui est pardonné. Puis nous sommes sortis. On avait mangé goulûment, on en avait plein les doigts. Alors, nous nous sommes lavés les mains avant de jouer au bowling. On a bien rigolé.Kadydia
Le meilleur mariage de ma vieJ’ai un mariage fabuleux de prévu. Alors je suis rentrée dans la salle de mariage. Au buffet, pour l’apéritif’, il y avait des mini-hamburgers, des mini-pizzas, des mini-cheesecakes, des tiramisus. En entrée, on nous propose une salade composée : les mélanges de goûts étaient magnifiques, avec du pain fait maison. Pour le plat d, je e résistance, j’ai mangé du couscous, du poulet aux pruneaux et aux amandes, un tajine appétissant et une pastilla délicieuse. Au dessert, on m’a apporté des fruits, des coupes de glace au caramel et Carambar très sucrées. Pour le bouquet final, il y avait une pièce montée aux choux à la crème avec du caramel pas mauvaise du tout !Mais j’ai pris quelques kilos en trop !Tasnîm
Un moment entre fillesUn lundi soir, moi et maman, nous sommes allées au restaurant parce qu’il n’y avait plus rien dans le congélateur.J’ai beaucoup aimé l’entrée : un tartare de saumon. Puis le serveur nous a apporté le menu et nous avons choisi un plat de fromage fondu avec des pommes de terre. Nous l’avons savouré.Au dessert, j’ai dégusté une glace à la vanille.On a aimé ce moment entre filles. Puis nous sommes rentrées à la maison contentes et rassasiées.Nada
Le lundi à midi, je suis allée au restaurant avec ma famille parce que j ‘étais affamée.En entrée, j’ai dégusté une salade et des carottes râpées.Pour le plat de résistance, j’ai mangé des pâtes.Au dessert j ‘ai mangé un gâteau au chocolat.J’ai beaucoup aimé ce que j’ai mangé au restaurant.Chaymae Z
Blanche Neige et le banquet royalCe matin, Blanche Neige voit de loin un énorme château. Dans ce château, il y avait un grand banquet. Blanche Neige y entre. Elle a tout grignoté, il y avait beaucoup de monde. Les invités sont vraiment en colère qu’elle ait tout mangé ! Blanche Neige veut réparer ses erreurs: elle sort pour aller acheter de la nourriture et pour se faire pardonner !Iptissem et Yanina
La glace que je n’ai pas aiméeVendredi soir pour l’anniversaire de papa je suis allée avec toute ma famille au restaurant. En entrée, j’ai commandé des tomates en salade. Pour le plat de résistance, j’ai mangé des frites avec du poisson pané. Puis, sur le plateau de fromages, j’ai demandé un gros morceaux de gruyère. Au dessert, j’ai été déçu : mon frère a eu une glace au carambar et moi, une glace à la fraise, mais pas très bonne. Mais je me suis quand même amusé et le repas était délicieux (sauf la glace).Emilie
Un vendredi soir, j’ai fêté mon anniversaire au restaurant avec mes parents et ma copine. En entrée, j’ai commandé une salade de riz et pour le plat de résistance, j’ai pris des pâtes et du poisson pané. Ensuite, j’ai dégusté du camembert moelleux. Enfin, j’ai été déçue car ma petite sœur avait une glace au chocolat et moi j’ai eu une glace à la pistache qui n’avait pas l’air très bonne. Mais, je me suis quand même amusée.Iliana
Le restaurantVendredi 16 décembre, pour mon anniversaire, maman nous invite ma sœur et moi, à dîner au restaurant.En entrée, j’ai mangé de la salade et du pâté. Pour le plat de résistance, j’ai dégusté des escargots et des carottes en sauce.Ensuite j’ai mangé un morceau d’Ortolan. Enfin j’ai savouré de la Danette fondante à la banane. J’ai passé un très bon moment .Maxence
Un jour, je suis allée au restaurant : en entrée, j’ai choisi une salade puis, pour le plat principal, j’ai mangé des frites avec du poulet. C’était délicieux. Sur le plateau de fromage, j’ai choisi du gruyère. Je me suis régalée. Au dessert, j’ai mangé une glace à la vanille avec des pépites de chocolat : c’était très bon.NourLe super anniversaireUn lundi soir , je suis allée dîner avec toute ma famille, parce que c’était mon anniversaire. En entrée, j’ai dégusté une soupe aux légumes qui était délicieuse. Pour le plat principal, j’ai mangé des frites et du poisson. Ensuite, j’ai dégusté un yaourt et du fromage blanc. Enfin, j’ai dégusté une succulente mousse au chocolat. J’ai trouvé ça très bon, je me suis bien amusée.Nourchen
Ce matin, j’ai vu… par les CE1 et les CE2
Parce qu’il est plus facile d’écrire à partir de son vécu…
En venant à l’école, j’ai l’habitude au printemps de regarder les jolies fleurs. Mais ce matin, il n’y avait plus de fleurs. Alors, je me suis dit que c’était l’automne. J’étais triste, parce que je ne voyais plus les marguerites !Mais le printemps reviendra !Nada, CE2
Ce matin, à la maison, j’ai entendu mon petit frère pleurer. Ensuite, en venant à l’école, tout seul, j’ai aperçu des voitures qui roulaient sur la route. Je n’avais pas peur. Je suis grand. Après, je suis rentré en classe et j’ai travaillé.Djibril, CE1
Hier soir, chez moi, j’ai pensé que le maître allait nous donner un contrôle et qu’ensuite il nous mettra rouge, orange ou vert. Je me suis senti mal. Je me disais que je n’y arriverai jamais !Alors papa m’a dit : « Quand j’étais petit, comme toi, moi aussi c’était dur. J’ai fait des efforts et j’y suis arrivé ! »Il m’a rassurée.Chaymae Z, CE2
Ce matin, à la maison, j’ai vu ma mamie faire du pain. Elle a pris des ingrédients, puis les a mélangés. Ensuite, en sortant, j’ai aperçu mon oncle. Il m’a amenée à l’école. Je lui ai montré ma nouvelle paire de baskets à talons compensés. Il m’a dit : « Elle sont belles ! » Je lui ai dit : « Merci ! ».J’étais heureuse !Aya, CE1
J’ai eu peurCe matin, à la maison, j’ai vu une araignée dans ma chambre. J’ai eu peur et j’ai crié. Ma maman est venue et elle l’a écrabouillée ! J’étais rassurée.Mayssane, CE1
Ce matin, en venant à l’école, j’ai entendu un mot et ça m’a blessé. Ce mot, c’est quelqu’un qui m’a dit que j’étais moche. Je trouve ça méchant.Hamza, CE2
Ce matin, j’ai vu un magasin de bonbons. Il y avait plein d’enfants qui en voulaient : à la menthe, au chocolat, à la fraise, au Coca et à la framboise. J’étais content parce que j’ai mangé des bonbons.Halid, CE1
Ce matin, à la maison, ma sœur est venue dans ma chambre. J’étais entrain de dormir. Elle m’a fait peur. Je me suis réveillé en sursautant. Ensuite, j’ai entendu mon papa déjeuner, alors je suis sorti de mon lit pour qu’il me protège.Mohamed Amine, CE1
Ce matin, en venant à l’école, j’ai pensé à ce que je ferai ce week-end. Samedi matin, ma famille et moi, nous irons à Paris. Là-bas, j’irai faire du cheval, puis je monterai sur la Tour Eiffel, tout en haut ! A la fin de cette merveilleuse journée, nous irons dans le meilleur restaurant de Paris. Le lendemain, je me réveillerai et nous serons arrivés à la maison.Rayhana, CE2
Humeurs et souvenirs
J’adore l’Italie, parce que là-bas, j’ai trouvé la vie de mes rêves. J’y suis née. J’avais plein de copains et de copines. Ils habitaient tout près de chez moi et j’avais toujours le droit d’aller chez eux. On s’amusaient comme des petits fous. En hiver, la neige nous arrivait jusqu’aux chevilles car nous vivions en montage et en été, il y avait des piscines fantastiques.Quand j’ai déménagé, j’étais un peu triste.Mais maintenant, je suis habituée à la France.Iba, CE2
Un matin, à l’école au Mali, j’avais trois ans, j’ai surpris mon maître frapper mon camarade Boua et ça m’a fait très très peur. Quand j’y repense, je me mets à trembler, à pleurer ; ça m’a terrifiée !Avec mon Boua, on jouait, on s’amusait. Il me manque beaucoup, c’était mon seul ami. Dès que j’étais avec lui, je me sentais mieux. Mais un jour, il a eu un accident et il ne se souvenait plus de moi. Je suis restée deux jours avec lui à l’hôpital, mais rien ! il ne se souvenait toujours pas de moi.
Alors, je suis rentrée chez moi et j’ai fait comme si de rien n’était. Mais pour moi c’est une immense peine.Kadydia, CE2
Ce matin, je me réveille sur le bateau de…
Après avoir, suivi sur internet (via nos magnifiques TBi) le « Vendée Globe » qui les a passionné ; après avoir étudié, travaillé sur ce monde qui jusque là leur était inconnu ; après avoir partagé ces nouvelles connaissances avec les autres classes (voir l’exposé) ; riches de tout cela, ils ont écrit !!! Leur textes sont précis, documentés et vivants !Et en cadeau (tout en bas de ce post), la Maîtresse, elle aussi, a pris le crayon en s’inspirant des aventures contées par ses élèves.Bravo à tous.Ce matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau d’Armel le Cléac’h. Nous sommes au niveau de l’équateur, il fait très chaud et il y a peu de vent. La mer est calme. Je vois des dauphins et des albatros. Je ressens du bonheur. Le skipper me propose : « Tu veux régler les voiles du bateau ? »… Bip bip bip… Je me réveille à Chenôve.AmelArmel le Cléac’hCe matin, quand je me suis réveillé, j’étais sur le bateau d’ Armel Le Cleac’h. C’était la pétole, il n’y avait pas de vent et il faisait chaud. Alors, Armel Le Cleac’h m’a proposé : « On va voir sous le bateau s’il y a des problèmes ?». J’ai d’abord dit «oui» et après j’ai dit «non». Alors, Il m’ a demandé de monter en haut du mât. J’étais attaché avec un harnais et j’ai réparé le mât. Quand je suis redescendu il n’était plus sur le bateau.– Armel tu es où ?Il ne m’a pas répondu, puis il est revenu et il m’ a dit :– Tu as cassé mon mât ! je ne vais pas gagner la course ! Descends de mon bateau !!!Dring! Dring ! Le réveil a sonné…DenisCe matin, je me réveille sur le bateau de Thomas Ruyan. Nous sommes au Cap Horn. Il pleut, il y a beaucoup de vent et la mer est agitée. Je vois de l’eau partout autour de moi et un grand mât. Je ressens de la crainte et je suis angoissé, j’ai peur que le bateau coule à cause des OFNI. J’aimerais voir des dauphins pour les prendre en photo et garder des souvenirs. Le skipper me dit de me calmer, il me demande de me reposer et de revenir dans trois heures. Dring ! Dring!Quand je me réveille, je réalise que j’ai rêvé.AurenzoThomas RuyanCe matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau de Vincent Riou. Nous sommes au large du cap de Bonne Espérance, en dessous de l’Afrique du Sud. Il y a des vents très violents et la mer est déchaînée. Je vois plein d’animaux : des albatros, des dauphins, des baleines. J’ai peur car cette course va être très difficile. J’aimerais aller sous le bateau pour regarder la quille, les safrans, les foils.DRING, DRING, DRING, BIP, BIP, BIP ! Le réveil sonne…DainysCe matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau de Vincent Riou. Nous sommes dans le « Pot au Noir ». Il fait chaud et il n y a pas de vent, la mer est calme. Je vois un autre voilier, c’est celui de Morgan la Gravière. Et tout à coup, un dauphin saute ! Je suis heureuse parce que je suis avec mon skippeur préféré. J’aimerais voir des albatros…Le skippeur me demande:– Ça te plait ?– Oui ça me plait vraiment.– Tu n’as pas peur?– Non pas trop.Et là… quelque chose frappe la coque. Nous allons voir à l’avant du bateau… Rien… Mais tout à coup, un gros coup de vent fait gonfler les voiles, et fait giter le bateau.Vincent Riou tombe à la mer !BIP, BIP, BIP !
SalmaCe matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau d’Armel Le C’léac’h. Nous sommes dans les 40émes rugissants en pleine tempête. Le vent est très fort. Au loin, je vois la terre… C’est le Cap Leeuwin. Je ressens de la peur parce qu ‘il y a beaucoup de vent et la mer est agitée. J’aimerais aider le skippeur à réparer son mât… Dring Dring Dring…HarounCe matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau de Jean-Pierre Dick. Nous sommes dans la pétole au « Pot au Noir » vers l’équateur. Il n’y a pas de vent, la mer est plate. J’ai peur car je vois le skipper qui s’est ouvert la lèvre et le menton parce qu’il est tombé sur le pont. J’aimerais voir des albatros car ils sont magnifiques. Le skipper me demande de lui agrafer sa plaie, mais j’angoisse, parce que j’ai peur de lui faire mal. Dring,dring,dring… Le réveil sonne.ImaneJean-Pierre DickCe matin, quand je me réveille je suis sur le bateau Safran de Morgan Lagravière. Nous sommes au large du Cap de Bonne Espérance. Je ne vois que la mer autour de moi. Je ressens de la joie et j’aimerais voir des albatros.Le skipper me dit de réparer son mât…. Dring, dring, dring ! Le réveil sonne…JalilaSafran de Morgan LagravièreCe matin, quand je me réveille je suis sur le bateau de Jérémie Beyou. Nous sommes dans les 40èmes rugissants, au niveau du Cap Horn. Il fait très froid, il y a beaucoup de vent et des grosses vagues. Je ressens de la joie dans mon cœur parce que Jérémie Beyou est mon ami.J’aimerais partager ce moment avec ma famille. Jérémie Beyou me propose de régler les voiles … Dring ! Dring !Maïmouna
Ce matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau de Jérémie Beyou. Nous sommes dans la zone de l’Equateur. Je vois des albatros tout autour du monocoque. Je ressens de la joie car je suis avec Jérémie. Le skipper me dit que je suis courageuse parce que je n’ai pas peur. J’aimerais voir des baleines. Et là, un vent très violent gonfle les voiles. Elles se déchirent. Mon marin me dit de les recoudre. J’accepte … Dring dring dring !
Salima
Ce matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau de « Comme un Seul Homme ». Nous sommes au niveau du Cap Horn. Il neige, la mer est calme et il y a peu de vent. Je vois des baleines. Je suis heureux de voir la mer et de découvrir de près des animaux. J’aimerais voir des albatros et leurs gigantesques ailes. Le skipper me dit qu’il va changer de cap. Je tourne la tête et je vois un albatros qui vient se poser sur le bateau. Je me dirige vers lui pour le toucher. Au moment où je caresse sa tête… DRING DRING DRING !MehdiEric Bellion « Comme un seul homme »Ce matin quand je me réveille je suis sur le bateau de Didac Costa.Lieu : au large du Brésil. Temps : soleil. Vent : un petit peu. État de la mer : calme.Je vois des Albatros, des dauphins et des baleines. Je suis content car je suis sur un grand bateau. J’aimerais voir d’autres skippers… Didac me demande :– Tu peux surveiller le bateau pendant que je dors s’il te plait ?Pendant qu’il dort le bateau se met à giter…– Didac ! Réveille-toi ! Le bateau gite !Dring…. Dring……NaëlDidac CostaCe matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau de Louis Burton. Nous sommes au « Pot au Noir », à l’Equateur. Il fait chaud et il n’y a pas assez de vent. La mer est calme, il n’y a pas d’énormes vagues. Je vois de l’autre côté Haroun avec Armel. Je ressens de la crainte parce que j’ai peur que le bateau se casse. J’aimerais faire des gâteaux pour les manger avec Louis mais le skipper me dit de plutôt monter la voile. Bip…bip…bipRayanLouis BurtonCe matin, je me réveille sur le bateau d’Alex Thomson. Nous sommes à l’entrée du chenal, nous venons d’arriver. Il fait chaud, la mer est calme. Je ne pensais pas qu’il y aurait tant de monde.Je vois ma famille m’acclamer. Je suis très très heureux.J’aurais aimé avoir le trophée mais le skipper me dit qu’on va le gagner à la prochaine édition.Bip Bip… je me réveille.RiyadAlex ThomsonCe matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau d’Armel Le Cléac’h. Nous sommes au niveau de l’Equateur il fait très chaud. Je vois des dauphins sauter autour du bateau. Je ressens de la joie parce que je suis sur le voilier du premier de la course. Mais ce que j’aimerais vivre c’est l’arrivée aux Sables d’Olonne. Le skipper me demande : »Veux tu m’aider à tenir la barre ? Je vais dormir un peu… » Il va se reposer et je suis seule. Tout à coup le vent se lève…Dring, Dring…SabiantiCe matin, je me réveille sur le bateau d’Alan Roura. Nous sommes au large du Cap Horn, à la limite entre l’océan Pacifique et l’océan Atlantique. Autour de nous, il y a des grosses vagues et beaucoup de vent. Je ressens de l’étonnement et de la joie parce que c’est la première fois que je vois des dauphins. J’aimerais tenir la barre du bateau. Le skipper me demande de recoudre sa voile qui s’est déchirée à cause du mauvais temps pendant qu’il se repose…Dring dring dring… Je suis vraiment contente d’avoir rêvé cette belle aventure.Selin
Ce matin quand je me réveille, je suis sur le bateau d’Alan Roura. Nous sommes dans la zone de l’équateur, il n’y a pas de vent et la mer est calme. On voit des dauphins et je suis super contente. Ce que j’aimerais, c’est finir la course. Le skipper me dit de mettre le cap au Sud… Bip bip bipThérésiaCe matin, quand je me réveille je suis sur le bateau d’Armel Le Cléac’h ! Nous sommes au niveau de l’Equateur à l’ouest de l’Afrique. Il fait très chaud, il n’y a pas de vent, il y a des petites vagues. Je vois des albatros et des dauphins. Je suis très contente et étonnée. J’aimerais nager avec eux. Le skippeur me demande :– Que veux-tu voir ?– Les autres skippeurs…Dring, dring, dring…SherazadCe matin, quand je me réveille je suis sur le bateau d’Armel le Cléac’h. Nous sommes au large du Brésil, dans la tempête. La mer est agitée. Au loin, je vois le mât d’un autre skipper. Je ressens de la crainte car le bateau gite.Mais, je ressens aussi de la joie d’être là.J’aimerais voir un albatros.
Le skipper me demande de grimper en haut du mât pour changer la voile. Puis, il me dit d’aller me reposer.Je dors depuis 40 minutes quand le réveil sonne. Bip bip bip…Je suis dans mon lit !SultanoCe matin, quand je me réveille, je suis sur le bateau d ‘Armel Le Cléac’h. Nous sommes vers le Cap Leeuwin. Je vois des albatros et je suis joyeuse. J’aimerais voir des dauphins et des baleines. Le skipper me demande : « Est-ce que tu aimerais passer le cap Horn avec moi ? »Dring dring dringTervieCe matin, je me réveille sur le bateau d’Armel Le Cléac’h. Nous sommes dans le « Pot au Noir » vers l’Equateur au large de l’Afrique. Il fait chaud, c’est la pétole. La mer est calme. Je vois des albatros. Je suis excité et joyeux parce qu’ils sont vrais. Ils sont tellement grands qu’ils sont majestueux. Le skippeur me demande de monter au mât…BIP. BIP. BIP !Thibaud
Ce matin quand je me réveille, j’ai une drôle de sensation… Le sol bouge sous mes pieds… J’ouvre les yeux… Je suis entourée d’eau ! Oh ! C’est incroyable je suis sur un voilier ! J’aperçois … des élèves ! Amel, Sabianti… Mais aussi Denis et Thibaud perchés en haut du mât… Mais ils sont fous ! Ils vont tomber… Je voudrais leur dire de faire attention mais aucun son ne sort de ma bouche… Oh ! Il y a aussi Armel Le Cléac’h ! C’est génial nous sommes en plein « Vendée Globe »… L’air est doux et la mer est très calme… Autour de nous des dauphins semblent nous dire « bonjour » tandis qu’un peu plus loin de majestueux oiseaux planent au-dessus de l’eau. J’entends le skipper discuter avec Amel…. Il lui montre les voiles… Le voilà maintenant qui montre à Sabianti comment tenir la barre et voilà les deux filles qui prennent les commandes du bateau. Les deux garçons sont toujours en haut du mât… Armel Le Cléac’h entre dans sa cabine, on dirait qu’il va se coucher… Le vent se lève… Je ferme les yeux quelques instants. Quand je les ouvre à nouveau, les filles ne sont plus là ! Denis est descendu du mât tandis que Thibaud essaye de réparer quelque chose mais je ne vois pas bien quoi… Denis est inquiet. Il appelle le skipper…. Le voilà qui sort de sa cabine… Il n’a pas l’air content… Et hop, voilà Denis qui disparaît… Je lève les yeux vers Thibaud, il est toujours là. Il n’a pas l’air effrayé… Mais… Que m’arrive-t-il ? J’ai la tête qui tourne…Quand je reprends mes esprits j’ai changé de bateau. L’ambiance n’est pas du tout la même. Des grosses vagues soulèvent le voilier. J’ai du mal à tenir debout sur mes jambes. Je vois le skipper de dos, mais je ne le reconnais pas. La coque et les voiles du bateau sont orange… Oh ! Mais il y a un élève qui se penche par-dessus bord…. On dirait qu’il est très intéressé par la quille ou les safrans. Le bateau gite tellement qu’on les voit très bien d’ailleurs… Il faut que je lui dise de faire attention… Il va passer par-dessus bord…. Trop tard ! Je ne le vois plus…. Je crois que c’était Dainys… Je tombe dans les pommes !Quand je reviens à moi tout est calme… Il fait chaud, le soleil brille… Les voiles du bateau faseillent* mollement. Il n’y a aucun vent…. Tiens… j’aperçois Imane…. Un skipper s’approche d’elle avec une trousse à pharmacie… Elle est blessée ? Oh, non ! Heureusement ! C’est le marin qui saigne…. Ah ! Du sang… J’ai horreur de ça…Bon… et bien voilà… j’ai encore dû m’évanouir…. Et voilà de nouveau du vent, beaucoup de vent et des vagues énormes… Il fait très froid… J’aperçois Maïmouna qui a l’air ravie… Elle est en train d’aider le skipper à régler les voiles…. J’entends une voix crier « c’est le cap Horn ! ». Je me relève un peu trop vite pour voir le fameux « caillou » et Boum ! Je m’assomme !Ma tête… J’ai une grosse bosse… Bon c’est toujours la tempête ! Et en plus maintenant il pleut… Ho… Le cap Horn est toujours là !! Mais … Ce n’est plus le même bateau… Tiens ? Aurenzo en grande discussion avec Thomas Ruyant… Ils ont l’air de bien s’entendre… Allez… je crois que j’ai compris comment changer de bateau. Je ferme les yeux…Bien joué… la coque du bateau n’est plus de la même couleur. Celle-ci est rouge avec une croix blanche… Mais… nous sommes encore au cap Horn…. Décidément ! Et il y a encore du gros temps…. Ce n’est donc pas une légende… Tiens j’aperçois Selin qui recoud une voile… Elle est courageuse par ce temps avec le bateau qui est secoué dans tous les sens… Coucou !! Sel…Allez… me voilà repartie… Cool…. Tout est calme… Il fait beau…. Je vais pouvoir me réchauffer un peu… Couleur de la voile ? Jaune et verte… J’essaye de me souvenir des bateaux que l’on a suivis en classe… Tiens … C’est Rayan qui est sur le bateau… Bon et bien je parie que je suis sur le voilier de Louis Burton… Rayan est en train de proposer au skipper de lui préparer des gâteaux… J’avoue que j’ai un peu faim, je vais peut-être rester… Ah mais non… Le skipper préfère de l’aide pour monter les voiles… Oh ! Rayan me voit… « Maîtresse, regarde là-bas…. Il y a le bateau d’Armel Le Cléac’h avec Haroun… » Je tourne la tête et effectivement une voile que je connais bien… Bon, l’eau a l’air bonne… Un petit peu de natation ne me fera pas de mal…. Je plonge….Alors surtout ne pas penser que c’est très… très… très… très… profond et qu’il peut y avoir des gros… gros… poissons !
Me voilà sur le bateau d’Armel Le Cléach…. Vous n’allez jamais me croire… Je suis montée sur le dos d’un dauphin et hop… j’ai sauté sur le bateau. D’ailleurs il y a quelqu’un qui est en admiration devant les dauphins… Mais ce n’est pas Haroun… C’est Sherazad… J’ai l’impression qu’elle aimerait bien aller piquer une petite tête elle aussi… Elle dit qu’elle aimerait bien voir d’autres bateaux…. « Là-bas regarde…. J’en viens…. » Elle ne m’entend pas… Moi, je suis épuisée, je vais dormir un peu…Quand je me réveille, je suis revigorée !! Alors ? Où suis-je ? Hé…Hé ! Un bateau vitamine C… orange… Je suis avec Salma sur le bateau de Vincent Riou… C’est calme, ça fait du bien… Oh ! Et là-bas au loin une autre voile… C’est sympa de se retrouver tous au même endroit … Salma discute tranquillement avec le skipper, quand tout à coup… Boum ! Nous heurtons quelque chose… Un OFNI ? Je vois Salma et Vincent Riou qui se précipitent à l’avant du bateau… Le vent se lève et le bateau gite… Plouf !! C’était quoi ça ? Qui est tombé ? … Salma est toujours là…. Nous voilà toutes les deux sans skipper !! … ?? Mais… Où est passée Salma ? Oh, là, là !! Que vais-je devenir ? Seule au milieu de l’océan… J’agite les bras de désespoir quand tout à coup un albatros fonce sur moi… Il est immense… Avec son bec, il attrape mon blouson et me soulève… Nous nous élevons dans le ciel… Le bateau devient de plus en plus petit… Et… Ah mais oui… Il m’emmène vers l’autre bateau que l’on voyait au loin…C’est le voilier de Morgan Lagravière… Et il y a avec lui Jalila qui scrute le ciel… On dirait qu’elle cherche à voir des albatros… « Oh Eh !! Jalila… Regarde par ici… La maîtresse qui vole… » Zut, elle ne me voit pas… Elle est maintenant en train de se préparer à monter au mât… Tandis que mon sauveur me dépose délicatement à l’avant du bateau, Jalila disparait tout en haut du mât… Je la cherche des yeux mais le soleil m’éblouit, je ne vois plus rien…Quand j’ouvre les yeux, je suis à nouveau sur le bateau d’Armel Le Cléac’h… Décidément il a du succès… Nous sommes au large du Brésil. La mer est très agitée… Mais je rêve… Il y a un élève cramponné en haut du mât… C’est Sultano ! Heureusement que nous avons fait de l’escalade en début d’année… Il n’a pas l’air trop affolé… Il fait des grands signes… On dirait qu’il dit bonjour à quelqu’un… Et bien oui ! Il y a une autre voile là-bas au loin… Si je ferme les yeux, je vais peut-être y aller…Je crois que je maîtrise la téléportation à la perfection… Me voilà sur l’autre bateau toujours au large du Brésil sauf qu’ici c’est la pétole !! Je devine Sultano tout là-bas qui redescend de son mât et qui entre dans la cabine… Derrière moi, j’entends parler : « Puedes vigilar el barco mientras que voy a dormir por favor ? » C’est de l’espagnol… Et qui est à la barre ? C’est Naël… Tout va bien… Ah ? Tiens ? Le vent se lève… Le bateau se met à giter. Je glisse bêtement et je me cogne la tête…Quand j’ouvre les yeux j’entends la voix d’un marin qui dit « Tu es courageuse… » Je suis bien d’accord avec lui…. Avec tout ce qui m’arrive, je mérite une médaille… Ah mais non… Ce n’est pas à moi qu’il s’adresse… Il est en grande conversation avec Salima… Les voiles viennent de se déchirer et Jérémie Beyou demande de l’aide pour les recoudre… Alors ce sera sans moi, je suis nulle en couture… Je ferme les yeux et je m’imagine en train de remonter le chenal sous les acclamations de la foule…C’est merveilleux ! Je suis sur un beau voilier tout noir et il y a plein d’animation tout autour du bateau !! Je vois Riyad qui agite les bras… Il y a toute sa famille le long du chenal… Il y a aussi la famille d’Alex Thomson. Tous les deux se congratulent. Bon et bien je vais les laisser fêter cette belle deuxième place sur le podium… Je me glisse discrètement dans la cabine…Me voilà à nouveau sur le bateau du leader de la course… Est-ce bien une course en solitaire ? Armel aura eu beaucoup de visites… Il n’est évidemment pas seul… Haroun et Tervie sont avec lui en pleine tempête… Le skipper leur explique que ce sont les 40èmes rugissants… Le voilier est en train de franchir le cap Leeuwin… Tervie semble d’accord pour traverser l’océan Pacifique et rejoindre le cap Horn. Haroun, lui, est prêt à grimper au mât… En pleine tempête ? Ils sont courageux quand même « mes » élèves !! Je suis fière d’eux… Je les laisse tranquilles…Je me réveille sur le bateau d’Alan Roura. Thérésia est à la barre. Il fait très beau. Des dauphins accompagnent le bateau. C’est magique… Le skipper demande à Thérésia de faire cap au Sud… Direction le tour du monde… Alors je leur souhaite … « Bon vent ! »A moi de choisir un bateau… La coque et les voiles sont à pois. Le skipper est un bizut et son message est très positif « tenter l’impossible pour voir si on en est capable, démontrer que l’aventure de l’autre est la plus belle des aventures »… Eric Bellion est le poète et le philosophe de cette course… J’ouvre les yeux sur son bateau.Nous sommes au cap Horn, c’est parfait ! Oh ! Encore un élève… Mehdi est captivé par les albatros. C’est normal puisque les albatros font rêver tous les marins… Mehdi me voit. Il court vers moi avec la manivelle du winch à la main… et trébuche… Je prends un petit coup de manivelle sur la tête juste assez fort pour m’assommer et me renvoyer chez moi… Pure maladresse bien sûr ! Bon de toutes les façons il fallait bien que l’aventure s’arrête… non ?Tiens c’est bizarre… Encore une voile… Un cerf-volant au-dessus de ma tête…. Et de la musique… Fin !Maîtresse
Avant de raconter, chercher…
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Les élèves de CE2
C’est bien !
Nous avons étudié un livre de Philippe Delerm :
C’est bien de se mettre de la peinture sur les doigts
Jasmine CM1
C’est bien de faire la roue au gymnase
Poésies au cycle 3 – Quatrième article
Quand on aime, on ne compte pas !!!
Je suis à l’hôpital
Je viens de donner ma carte vitale
La secrétaire me dit de me taire
Je me dirige dans un endroit
Enfin je crois
Je vois une fille
Elle me dit s’appeler Camille
C’est une infirmière
Et non une fermière
Je lui raconte mes peurs
En regardant l’heure
Elle me rassure
D’un coup je me sens sûre
Je m’assois sur un lit
Où ça sent le pissenlit
Quelqu’un toc toc
Il doit être toc
Oh! Non ! C’est le chirurgien !
Il a une haleine de chien
Je commence à pleurer
Comme un nouveau né
Je sèche mes larmes
Et là y a une arme…
Chanèze
Poésies au cycle 3 – Troisième article
Poésies au cycle 3 toujours et encore !!!
Ton père te fait manger du vocabulaire
Ta mère te fait réviser de la grammaire
A la dictée on est condannés
A la géométrie heureusement je ris
En mathématiques j’ai la technique
A l’heure de la récré je suis tout excité
Wassim
Avec Mme Clerc
On rigole pas
Si les punitions tombent c’est foutu pour toi
Mais avec elle ça ne change pas
Et ça c’est clair
Chaïma
On entre en classe
On prend notre place
On est heureux
On bâille
Bref c’est la rentrée
J’ai envie de pleurer
Zaynab
Non ! C’est la guerre
Le calcul
C’est pour les nuls
La géométrie
Non ! c’est déjà pris
L’histoire
Non ! il faut y croire
Mais la récré
Oui ! je veux bien y jouer
Walid
Histoires de CP
Nous avons observé cette illustration :
Poésies au cycle 3 – Deuxième article
Poésies au cycle 3, Suite…
N’aiment pas les français
La Slovaquie
Déteste la Roumanie
Les État-Unis
Détestent la Syrie
La guerre est revenue
On n’a pas le choix, on tue
Parce que c’est la galère
Je crois qu’on ne verra jamais
Les gens vivre en paix.
Salima
La guerre
C’est la galère
La France est en guerre
contre des terroristes
Qui nous rendre tristes
Le chef est un malade mental
Qui ne fait que le mal.
Aurenzo
Avec leur pizza aux pepperoni,
Ça me donne des allergies.
On ne mange que ça le midi.Pour moi au Congo,
J’aime pas la noix de coco,
C’est beaucoup trop gros.Singapour,
Il y a des tours tout autour
Au revoir j’y cours !
Imane
Hommage à Paul Eluard (CM1/CE2)
Paul Éluard, est un grand poète français,
né à Saint-Denis en 1895 et mort en 1952.
C’était un « surréaliste », comme Louis Aragon, Robert Desnos, René Magritte,
Marcel Duchamp, Salvator Dali, Jacques Prévert…,
qui sont quelques-uns des plus connus de ses camarades
écrivains, poètes, peintres, artistes.
Un surréaliste croit à la toute-puissance du rêve
et à ce qui est « au-dessus du réalisme ».
Il a écrit ce poème :
Dans PARIS…
Dans Paris il y a une rue;
Dans cette rue il y a une maison;
Dans cette maison il y a un escalier;
Dans cet escalier il y a une chambre;
Dans cette chambre il y a une table;
Sur cette table il y a un tapis;
Sur ce tapis il y a une cage;
Dans cette cage il y a un nid;
Dans ce nid il y a un œuf,
Dans cet œuf il y a un oiseau.
L’oiseau renversa l’œuf;
L’œuf renversa le nid;
Le nid renversa la cage;
La cage renversa le tapis;
Le tapis renversa la table;
La table renversa la chambre;
La chambre renversa l’escalier;
L’escalier renversa la maison;
la maison renversa la rue;
la rue renversa la ville de Paris.
Nous avons un « peu beaucoup » copié !!!
Voici nos poésies surréalistes :
A Montpellier il y a la mer;
Dans la mer il y a un requin;
Dans ce requin il y a son estomac;
Dans son estomac il y a un poisson;
Dans ce poisson il y a une arête.
Et l’arête renversa le poisson;
Le poisson renversa le requin;
Le requin renversa l’estomac;
L’ estomac renversa la mer;
Et la mer renversa Montpellier.
Walid
En Albanie il y a une villa;
Dans cette villa il y a une piscine.
A coté de cette piscine il y a un parasol;
Sous le parasol il y a une terrasse;
Sur la terrasse il y a une serviette.
A coté de la serviette il y a un cocktail;
Dans le cocktail il y a des glaçons.
Et dans ces glaçons il fait très froid,
Alors le froid renversa les glaçons;
Les glaçons renversèrent le cocktail;
Le cocktail renversa la serviette;
La serviette renversa le terrasse;
La terrasse renversa le parasol;
Le parasol renversa la piscine;
La piscine renversa la villa;
Et la villa renversa Albanie.
Fortuna
Dans Dijon il y a une rue;
Dans cette rue il y a une maison;
Dans cette maison il y a une cuisine;
Dans cette cuisine il y a un frigo;
Dans ce frigo il y a un kiwi;
Dans ce kiwi il y a des graines;
Dans ces graines il y a des vitamines.
Et les vitamines renversèrent les graines;
Les graines renversèrent le kiwi;
Le kiwi renversa le frigo;
Le frigo renversa la cuisine;
La cuisine renversa la maison;
La maison renversa la rue;
La rue renversa Dijon.
Kader
Dans l’école il y a des escaliers;
En haut des escaliers il y a des classes;
Dans les classe il y a des cases;
Dans les cases il y a des cahiers;
Dans les cahiers il y a des exercices;
Dans les exercices il y a des consignes;
Dans les consignes il y a des phrases;
Dans les phrases il y a des mots;
Dans les mots il y a des lettres;
Dans les lettres il y a de l ‘encre;
Dans l’encre il y a des particules.
Et les particules renversèrent l’encre;
L’encre renversa les lettres;
Les lettres renversèrent des mots;
Des mots renversèrent les phrases;
Les phrases renversèrent les consignes;
Les consignes renversèrent des exercices;
Des exercices renversèrent les cahiers;
Les cahiers renversèrent les cases;
Les cases renversèrent les classes;
Les classes renversèrent les escaliers;
Qui renversèrent l’école.
Khadija L
Dans l’espace il y a une planète;
Parmi ces planètes il y a la Terre;
Sur la Terre il y a des continents;
Sur le continent il y a un pays.
Dans ce pays il y a une ville Rabat;
Dans la ville de Rabat il y a une plage;
Sur la plage il y a des vagues.
Dans les vagues il y a des poissons
Et les poissons renversèrent les vagues;
Les vagues renversèrent la plage;
La plage renversa la ville de Rabat;
La ville de Rabat renversa le Maroc;
Le Maroc renversa le continent;
Le continent renversa la Terre;
La terre renversa les planètes;
Les planètes renversèrent l’espace.
Naoufel
Poésies au cycle 3 – Premier article
En voici quelques unes… Les autres arrivent…
Notre travail ne fait que commencer…
L’AMITIÉ
Je ne sais pas si ce sont de vrais amis
Mais je m’entends bien avec eux
Je suis heureux
C’est le principal
Le reste m’est bien égal !
LA VIOLENCE
Ça me brise le cœur
Pourquoi tant de souffrance
Le Monde en pleure
Des gens meurent
Ça m’écœure !
Vaut mieux se respecter
Que de s’embrouiller
Ma mère a toujours détester la guerre…
Que des innocents
Il y a toujours du sang
On ne sort plus dehors
Tout brûle
C’est nul
Tout le monde est triste
Parce qu’il y a des terroristes
La guerre,
C’est toujours la galère.
Dans les rues y a des grues
Sur les trottoirs.
Tard le soir
Ne pas se promener
Y a des fêlés
Qui veulent nous attraper
Faut pas trainer
Faut rester cacher
Dans mon quartier
L’ÉCOLE
Ma mémoire roule
Je maîtrise, on corrige
On sait lire, j’admire…
On sait écrire, ça me fait rire…
Les contrôles, je trouve ça drôle!
J’ai des frissons
Alors je pense à mon chaton
Qui habite à Dijon
J’ai le cafard
Alors je pense à mon canard
Qui est à Colmar
J’ai le hoquet
Alors je pense à mon perroquet
Qui vit à Guéret
J’ai des tics
Alors je pense à mon moustique
Qui vit en Martinique
Oui mais à quoi ?
C’est pour l’avenir
Oui on va y venir !
Des mathématiques
FANTAISIES
Mon grand-père
Ont la tête à l’envers
Ils disent qu’ils ont vécu pendant la guerre
Qu’ils ont découvert la grammaire
Qu’ils sont partis sur la mer
Et qu’ils sont arrivés au Niger !
Et là, qu’est-ce que je vois?
Dans le brouillard
La sorcière du placard !
C’est son balai ?
Mais non c’est la fée du robinet.
9 mots, une histoire !!!
Il fallait lancer 9 dés et sur chaque dé, relever le mot inscrit.
Chanèze (CM2) a noté sur son cahier de production d’écrits :
fleur, tepee, arc-en-ciel, scarabée, mouton, éclair, boulier, maison, immeuble.
Que faire maintenant avec ces mots ?
« Un texte, a dit la maîtresse, en prenant soin que ces mots
participent à l’histoire que tu vas raconter,
qu’ils soient des éléments de l’histoire… »
Il fallait avoir beaucoup d’imagination !!!
Voici son texte :
2016, en Amérique, un mouton nommé Tristan (car il était toujours triste) en a marre de ce tepee dans lequel il n’arrive plus à dormir !
Il rêve de faire le tour du Monde. Alors, comme à son habitude, il joue avec son boulier. Ça l’aide à réfléchir !
Soudain, il a un éclair de génie : Fuguer ! Sa décision est prise.
Il prend son téléphone et appelle son ami Arc-en-ciel, qui, tout de suite, accepte avec beaucoup d’enthousiasme.
« Je serai là dans deux heures ! Le temps de prendre tout ce qu’il me faut, car ce voyage sera très long, me dis-tu, dans des forêts profondes et noires où vivent des sorciers ! »
Tristan est vraiment décidé. De toutes les façons, le mouton connaît les précautions à prendre.
Deux heures passent…
Arc-en-ciel n’est toujours pas là. L’animal commence à s’inquiéter. Il rappelle son ami qui ne répond pas ! L’inquiétude l’envahit. Il se pose un tas de questions : Comment va-t-il faire ? Est-ce qu’il partira ? Réussira-t-il à traverser la forêt ?
Il décide de fermer les yeux pour mieux réfléchir. Les idées lui manquent et tout ce qui lui vient à l’esprit, c’est de partir seul.
Les bagages sont déjà faits. Il ouvre alors son tepee, respire un bon coup, son aventure commence enfin.
Il est excité et en même temps effrayé.
Cent pas… deux cents pas et il arrive à l’orée de la « Forêt Noire ». Il y entre. Tout est calme. Ce silence fait peur à Tristan.
Et là, tout à coup, un énorme scarabée surgit et cherche à l’engloutir. Ne sachant que faire, il lui jette un caillou qui heureusement atteint l’insecte géant.
Le scarabée est assommé.
Continuant son chemin, il trouve une fleur et juste à côté, son ami, visiblement mort. Il fond en larmes. Mais que fait Arc-en-ciel ici ? Tristan sait que cette fleur est dangereuse, que c’est une plante redoutable, qu’on ne survit pas à son poison mortel.
Il veut enterrer son ami. Il sait maintenant que lorsque le soleil se lèvera son ami ne sera plus à ses côtés et cette fois-ci pour toujours.
Tristan continue son chemin en pleurant.
Après des heures de marche, il sort enfin de la forêt ;
« J’ai réussi, se dit-il, je n’y crois pas ! »
Là, il aperçoit une sorte d’immeuble qui se révèle être une grande et belle maison.
Il se dit qu’il devrait peut-être habiter ici, que l’endroit est sympathique et tant pis pour le tour du Monde, qu’il a déjà perdu son ami le plus cher et que l’essentiel, c’est quand même qu’il ne dormira plus dans ce satané tepee !
Quelques heures plus tard, Tristan est enfin installé dans son nouveau chez lui.
Cette aventure restera à jamais gravée dans son cœur !